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" yeah ! alors ça! c'est assez etonnant ! attention ! gros son metal avec un fond electro, voix death metal un peu, beaucoup même!(passée dans des effets) et moi qui suis imperméable à ce genre musical d'habitude, et bien là il y a comme un mysticisme troublant qui te happe et de promène avec des sonorités orientales ou des petites nappes qui donne un cachet aux morceaux,des petits sons barrés, ecaetera !ecatera !
Ce qui rend le tout vraiment très intérèssant! Un très bon groupe donc ,que je recommande entre les repas !matin midi et soir ! " drriquet (2008-06-16 - on jamendo) " nice dark sounds. Der erste Song legt los und ich habe sofort zwei Bandnamen im Kopf: Sumission/Lies und The Draggstar Layon. Der gleiche tiefe raue Sound und der gleiche Gesang, nur musikalisch beschreitet man etwas andere, aber ähnliche Wege. Gitarrensounds wie bei Submission/Lies oder den Ragga-Touch von The Draggstar Layon sucht man hier vergeblich, naja fast :) Der Industrial hier ist etwas ruhiger und schleppend und baut einen leichtes Weltuntergangs-Feeling auf. Düster, melodisch, treibend und sehr interessant. Natürlich regiert hier der tiefe verzerrte Bass, der mit den Beats die Basis bildet. Dazu angedeutete Melodieläufe die teils nach Klavier oder ähnlichem klingen und dem Ganzen den nötigen mystisch bedrückenden, aber trotzdem schönen Charakter verleihen. http://www.music-discovery.de/cds_review.php?frid=1254 " pgb74 (2008-04-27 - on jamendo) " Wow, fat beats & sound - very inventive ! 10 out of 0 to 10. Great Album - long time that i listened such a inventive sound ... even better than Fear Factory´s "Remanufacture" " El Darc (2007-12-12 - on jamendo) " en tant kamateur de deathmetal et de hip hop mec jte di kc pas mal du tout cke tu ma fait la.c bien novateur koi, c meme mieux ke le deathrap de necro..enfin j'trouve.. " elbrujo (2007-11-09 - on jamendo) " absolutely great! fantastic album! " deus-ex-nihilo (2007-07-22 - on Jamendo)
" Merci pour l'info sur LIFE.RENEGADE, excellente recommandation. "
" As someone who probably listens to more death metal than electronic music, the description made this album seem like an odd mesh of the two - this piqued my interest.
I streamed the first track and it absolutely blew me away. There was so much energy packed into it - momentum, power, and a good (maybe a bit too distorted) growl. It was like when I listened to the beginning of Obituary's "Slowly We Rot" all over again - I was really feeling it, and I just couldn't wait to listen to the second track.
Well... it sounded quite a bit like the first one. The same beat, similar structure, familar textures... but it still had alot of energy.
Then the third track hit. Same drum beat (which is a tad bit too high in the mix). Same tempo. Same sounds. Turns out the whole album pretty much seems like one long song with nine little breaks in between. There are a few tracks which are somewhat different (over da wall or the outro), but these are marginal differences at best. The lack of variety hurts this album alot.
Which is a real shame. There are many excellent aspects that I can point to. It's got a very distinct style (as far as I know) that I really dig and I still do like this album... but it's hard to really recommend the whole thing. I hope Life.Renegade.'s other efforts are a bit more daring, because I'll be sure to listen. " " Ce CD tout frais réédité reprend dans l'ordre chronologique les 2 E.P de Life Renegade initialement parus en 1999 et 2000. Ce projet électro musclé est issu du prolifique vivier du NKS International, dont le fleuron le plus notoire est certainement la drum'n'bass puissante et teintée d’indus d'Horion.
Dès la première plage, la formule se met en place : une sorte de Hip-Hop lourd, granuleux et sombre aux percus loudness et à la basse épaisse et sinueuse. La voix agressive et pitchée vers le bas s'intègre à merveille à ce mix bétonné et rêche. En contrepoint de la lourdeur étouffante, et la rendant encore plus palpable par contraste, des samples judicieusement choisis et des mélodies au piano dont la mélancolie dérive par bouffées sur le fond noir d'un paysage toxique, parfois éclipsées par des volutes lourdes et malsaines. Les compositions sont bien construites et cheminent avec une asphyxiante efficacité sur des tempos moyens aux variations maîtrisées, réservant ça et là quelques surprises. Slavery 01, tourmenté et sombre va crescendo dans la puissance et Inner Destruction reprend les choses là où elles s’étaient arrètées en radicalisant l'approche. L'influence rock se fait plus présente, la basse encore plus musclée se laisse aller sans retenue à une distorsion sombre et étouffante. La rage de la voix se contient à peine sur ces titres un peu plus linéaires et d’autant plus rentre-dedans. La production est rugueuse, le mix sombre et dense, les effets parcimonieux et bien gérés. Le coté loudness et parfois résonnant, parfaitement cohérent avec le propos, renforce l’opacité violente et désespérée de l’ambiance .
C’est un vrai bon disque avec une personnalité et de la texture, dont on devine la richesse d’influences mais qui ne se réduit à aucune. Les choix et partis-pris se révèlent judicieux et efficaces. Il y a de vrais morceaux qui avancent et se gravent dans l’esprit, à l’image (entre autres) du terrassant « Over da wall », qui se prête autant au pogo, au headbanging qu’à la breakdance. « Real digital hardcore », ils disent au NKS… si j’osais, je dirais qu’après le death metal et le death rock, il ya le death hip-hop. Ben si tu sais : les trucs à la Life Renegade. " " Life.Renegade. réussit une alternative grosse prod au digital hardcore. Le label DHR (Digital Hardcore Recordings) d'Alec Empire est resté ancré dans l'esprit et l'attitude punk. Les groupes de DHR salissent leur son avec toutes sortes de distorsion. En fait, souvent ils maîtrisent mal leurs machines, même si c'est parfois complètement volontaire, lo-fi comme on dit.
L.R. s'est plutôt nourri de métal hardcore et de hip hop, Pitch Shifter, Public Enemy ou Madball sont passés par là. La maîtrise des machines permet d'approcher les qualités esthétiques et apocalyptiques de la bombe atomique. Imaginez un Pitch Shifter des débuts avec une bonne prod et déjà des éléments breakbeat.
L.R. retranscrit la réalité dans ce qu'elle a de plus brut et de plus noir. La vie est une lutte que L.R. entend mener à terme, en l'affrontant de face, doté des armes les plus puissantes.
Bien travaillées, les mélodies sont souvent composées au piano. Elles soutiennent la lourdeur des rythmes et de la voix. Parfois elles invitent à une mélancolie passagère ou font esquisser un sourire amer, permettant de prendre un certain recul. Cette variété d'humeurs se retrouve parfois au sein d'un même morceau. Peut-être une lointaine inspiration de Naked City, dans un style vraiment différent, ni intello ni délirant. A noter qu'aucune guitare n'a été utilisée sur ces deux ep.
Life.Renegade. est une démonstration de force qui inspire inévitablement le respect et fait pisser Lorie dans sa culotte. " |
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